Impression 3D : support d’écran d’ordinateur
Projet d’impression 3D de pieds pour un support d’écran d’ordinateur. Quatre pieds à imprimer en 3D, plus une planche de MDF, le tout sans colle ni vis.
Projet d’impression 3D de pieds pour un support d’écran d’ordinateur. Quatre pieds à imprimer en 3D, plus une planche de MDF, le tout sans colle ni vis.
Apple vient de mettre à disposition Safari 3, son navigateur web, en version bêta publique disponible en téléchargement. La version finale de ce navigateur web est attendue pour octobre 2007.
Quelques jours avant la sortie officielle du navigateur web Mozilla Firefox 2.0, Jeremie Berrebi a posé une question aussi culottée que pertinente, à savoir qui a quitté Mozilla Firefox au profit de Windows Internet Explorer 7. La question est surprenante, puisqu’il est devenu de bon ton, parmi les professionnels du web, de critiquer le leader, Microsoft, pour son navigateur web supposément plein de bugs au profit de son challenger de chez Mozilla, naïvement parfait. Le classique combat de David contre Goliath, ou encore celui du Bien contre le Mal. Passons.
Depuis quelques jours, Google Reader propose une nouvelle interface utilisateur. Je m’étonne : en effet, son affichage est particulièrement corrompu sur les flux auxquels je suis abonné, comme la capture d’écran ci-dessous : Certes, mon navigateur, Windows nternet Explorer 7 Release Candidate 1 n’est pas encore très répandu, mais les premières versions publiques Beta d’Internet Explorer version 7 datent de près d’un an. Par ailleurs, l’on peut supposer que Google Reader exploite le Google Web Toolkit, mis à disposition gratuitement aux développeurs du monde entier et facilitant grandement le développement d’applications web de type AJAX. Ce framework est sensé prendre à sa charge la compatibilité des navigateurs. Je m’étonne donc doublement : aucune des deux équipes de développement, celle de Google Reader et celle de Google Web Toolkit n’a-t-elle testé la nouvelle interface utilisateur avec l’ensemble des navigateurs Internet du marché, qu’ils soient passés, actuels ou à venir ?
Tout développement web intègre une procédure d’assurance qualité. Idéalement, afin de s’assurer du bon fonctionnement des sites ainsi mis en ligne, il est utile de procéder à des tests exhaustifs de leur fonctionnement sur l’ensemble des plateformes de navigation visées. Cependant, la plupart des projets amateur, open source ou de taille modeste ne peuvent se permettre un investissement aussi conséquent pour leur budget.
Sans nécessairement externaliser la phase d’assurance qualité, on peut néanmoins tester la compatibilité de son site ou son application web en utilisant un service en ligne de capture d’écran de navigateurs web. Cette approche permet de réduire les coûts des tests tout en gardant la main sur ceux-ci et en s’assurant de l’exhaustivité des tests réalisés.