L’email est un point central dans la sécurité de notre identité en ligne. En effet, quel que soit le service auquel on souscrit, à part quelques rares exceptions, une adresse email valide est obligatoire. Or, même sans aucun piratage, cette adresse mail peut tomber entre d’autres mains. Explications.
Publier une adresse email sur un site web, c’est s’assurer qu’elle servira à alimenter les bases de données de spammeurs. Cependant, si l’on ne peut vraiment empêcher une telle utilisation abusive sans aucunement gêner les utilisateurs légitimes, on peut tout de même suivre l’utilisation de l’email ainsi aspiré en publiant une adresse mail unique. Et ça marche !
Bien que les deux principaux bureaux d’enregistrement français que sont Gandi et OVH proposent des promotions de rentrée sur les noms de domaines, leur politique commerciale sur les noms de domaines diffère totalement.
Google Apps classe un mail de confirmation d’alerte Google Actualités dans le dossier de courrier indésirable. Par conséquent, Google sait-il réellement identifier le spam ?
Comment lutter contre le spam ? C’est difficile. Et voici mon approche quand je reçois du spam français : je porte officiellement plainte auprès du FAI ou de l’hébergeur concerné pour réclamer la fermeture du compte Internet du spammeur. Une solution radicale qui… parfois du moins, donne d’excellents résultats.
Si Yahoo! devait être racheté par Microsoft, la quantité d’utilisateurs utilisant les solutions de communication Microsoft dépasserait le demi-milliard d’individus.
La sécurité informatique est d’autant plus importante sur le web que tous les pirates du monde peuvent venir tester la protection du système d’information sans grand risque réel. Or, de nombreux donneurs d’ordre dans le domaine des services web refusent d’écouter les conseils des professionnels et préfèrent ignorer les failles pourtant évidentes dans leur sécurité informatique pourtant particulièrement fragile.
Il devient difficile de communiquer en masse par email, compte tenu des nombreux faux-positifs rencontrés sur les solutions anti-spam, bloquant des messages légitimes sous prétexte de spam.
Le spam représente désormais la majeure partie du trafic de courrier électronique, certains prédisant même des chiffres alarmistes de 99 % de spam dans les courriers électroniques pour l’ensemble de l’année 2007. Or, l’un des principaux problèmes de lutte contre le spam et le phishing est que le SMTP, le protocole de communication servant à acheminer le courrier électronique, à la manière d’un courrier postal classique, n’intègre aucun contrôle au niveau de l’expéditeur d’un message, chacun pouvant se prétendre être n’importe qui. Aussi, plusieurs technologies visant à permettre l’identification de l’expéditeur d’un message ont été mises au point. L’idée est de vérifier si un message reçu émane d’un expéditeur légitime ou s’il s’agit d’un usurpateur d’identité.