Safari 3 pour Windows
Apple vient de mettre à disposition Safari 3, son navigateur web, en version bêta publique disponible en téléchargement. La version finale de ce navigateur web est attendue pour octobre 2007.
Apple vient de mettre à disposition Safari 3, son navigateur web, en version bêta publique disponible en téléchargement. La version finale de ce navigateur web est attendue pour octobre 2007.
Il y a quelques années, à contre-courant de la tendance, j’ai proposé un agrégateur de blogs non éditable par les utilisateurs. Il faut savoir que l’immense majorité des Internautes ignorent le sens et les notions liées au web 2.0, présenté par beaucoup comme une révolution. Ainsi, la plupart des Internautes sont des Internautes que l’on pourrait qualifier de passifs, à savoir se contenant de cliquer sur les liens inter-sites, sans réclamer la moindre personnalisation de contenu, n’ayant même pas l’idée qu’ils pourraient partager leur savoir, quel qu’il soit, et ne réclamant aucune personnalisation d’aucune sorte. Au contraire, ces Internautes sont friands de services clés en main, ne demandant que peu d’implication ou d’investissement personnel.
A la guerre comme à la guerre : et si l’on pouvait se débarrasser des sites web concurrents des résultats de recherche de Google, le feriez-vous ? Voici que je m’interroge…
Le problème, lorsqu’on essaye de monétiser un réseau de sites web, c’est qu’il arrive assez vite le moment où l’on est submergé par le travail de gestion des annonceurs. En effet, si l’une des premières approches consiste à choisir une régie publicitaire affichant des annonces contextuelles, une optimisation plus poussée des annonces permet un gain plus intéressant. Cela est possible notamment lorsqu’on choisit soi-même les sites à promouvoir, sites qui reversent alors directement aux éditeurs leurs intéressements aux ventes ou au trafic généré. On évite ainsi de payer la marge parfois conséquente (et souvent opâque) d’une régie publicitaire tierse.
Les équipes de Google ont finalement mis à jour leurs algorithmes pour filtrer automatiquement les tentatives de Google Bombing. Matt Cutts, le Monsieur anti-Web Spam de Google, en a fait l’annonce plus tôt cette semaine sur le Official Google Webmaster Central Blog.
C’est bien connu, un site web gagne en valeur lorsque son audience monte. Que ce soit un site de vente en ligne ou d’informations gratuites, la monétisation du service dépend grandement de son trafic. Comment mesure-t-on ce trafic ? Je vous propose de nous intéresser aujourd’hui aux les principales méthodes de mesure d’audience d’un site web en étudiant leurs avantages et leurs inconvénients.
En juin 2005, Google lançait l’expérience Google Sitemaps : le moteur de recherches permettait aux webmasters d’informer le moteur de recherche de la modification de leur site, et de lui fournir la liste des pages à indexer. C’était une véritable révolution en soi, car depuis le tout début du web, jusqu’alors, les robots d’indexation des moteurs de recherche parcouraient aveuglément le web à la recherche de contenu nouveau. Ce fut donc un signe d’une première inversion de la tendance : ce ne sont plus les moteurs de recherche qui viennent voir s’il y a du contenu nouveau, mais les webmasters qui les invitent à venir découvrir le nouveau contenu.
Le récent lancement de Like.com par Riya m’a fait penser à une assez ancienne idée que j’avais eu, avec l’une de mes frangines. Malheureusement arrivée avec au moins deux ans de retard, je n’ai pas tenté de l’appliquer. Pourtant, elle reste toujours d’actualité et possède des applications tout à fait réelles et concrètes.
Depuis peu, je suis avec intérêt les mésaventures avec les serveurs d’e-mail d’OVH, le premier hébergeur français avec 600.000 sites gérés. Ces aventures sont intéressantes, car depuis fin 2005, OVH propose à ses clients diverses solutions de gestion d’emails, jusqu’à 25 Go d’espace email par domaine.